Corbeaux noirs sur la plaine ?

serait-il revenu le temps des corbeaux noirs sur la plaine ou tout au moins les prémices de ces temps maudits ?
Il est étonnant de voir comment l'esprit perfide de certains
rappelle c'est temps anciens.
L'histoire ne manque pas de piquant pour qui prend le temps
de la revisiter.
Comparons, s'il vous plaît,  faits et comportements.
Une certaine façon de se faire plaindre,
de jouer le jeu de l'affectif,
de calculer l'impact sournois de son image,
de noyauter les choses par des pions bien placés
et surtout bien dressés.
Un bon chantage à l'affectif,
ainsi, le tour est joué. Le mal est dans le fruit aussi perfide que le pire des menteurs, un petit jeu de malheur qui entraîne ceux qui oeuvrent et veulent la paix vers une descente aux enfers, un combat pour la vie, pour la liberté
J'ai du mal à admettre ces gens là !
Car, le mal qu'ils font est impardonnable et demain sera terrible...
En effet, que font-ils...?   Rien !
Comment celà s'ils font le mal ils ne font pas rien, et pourtant.
détruire encore et encore ce que d'autres construisent, ce n'est pas rien faire tout en ne faisant rien, car la nature ayant horreur du vide, il faut bien remplacer ce qui est détruit par quelque chose. 
Les mentors de cette humble action brillent par leur stérilité, la folie du pouvoir et les grands rêves de gloire, de reconnaissance, d'existence mènent leur vie et même sur du vide ils règneraient encore, même sur la mort !
Car l'oeuvre de destruction a un sens : le pouvoir. La négation de l'action et de la vie affirme leur incompétence au quotidien des jours qui passe, demain n'a pas d'importance.


Alors, la pieuvre visqueuse, de leur haine,
de leur folie, s'accroche à leur visage.
La folie s'y lit ! Ne le voyez vous pas ?
Faut-il le drame pour que votre conscience s'éclaire ?
Et demain dans le silence du malheur vous direz, "si j'avais su"
Mais, il sera trop tard, vous saviez et n'avez pas agit.